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Pharmedigroup récolte 2 millions d’euros grâce à l’investissement de Go Capital dans le secteur de l’e-santé

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Levée confirmée, cap fixé. Pharmedigroup sécurise 2 M€ auprès d’un pool mené par Go Capital pour accélérer une vision simple : une officine connectée, rentable et pilotée par la donnée. L’e-santé avance vite. Les pharmaciens qui s’outillent maintenant prendront l’avantage marché, marges et temps gagné inclus.

Habitué au story des 15 secondes ? Voilà ce que tu dois retenir :
✅ Point clé Essentiel à retenir
🚀 Financement 2 M€ levés auprès de Go Capital (via Loire Valley Invest) + business angels pour scaler l’offre e-santé B2B pharmacie.
🧩 Suite produit Pharmedistore (marketplace), Pharmedisound (audio in-store), Pharmed’Insight (sondages rémunérés) : un triptyque orienté revenu et data.
📈 Objectif Devenir canal d’approvisionnement #1 en Europe pour les officines. 4 500 pharmacies déjà clientes, ambition élargie en 2025.
⚠️ À éviter Rester sur des process manuels. Automatise l’achat, valorise tes datas, diversifie tes revenus en boutique et en ligne.
Résumé visuel de l’article

Levée de 2 M€ menée par Go Capital : pourquoi ce deal e-santé change la donne pour les officines

Le tour de table de 2 M€ associe le fonds Loire Valley Invest géré par Go Capital, Celeste Management, Angelsquare, Sophia Antipolis Business Angels et Val de France Business Angel. Signal net : l’officine n’est plus un îlot isolé, c’est un nœud digital stratégique du système de santé.

Pharmedigroup regroupe trois briques complémentaires : Pharmedistore (lancée en 2017), Pharmedisound et Pharmed’Insight (2019). En 2020, l’ensemble revendiquait 10 M€ de chiffre d’affaires. Aujourd’hui, l’ambition s’élargit : accélérer le recrutement de pharmacies, intégrer plus de laboratoires et pousser l’usage data pour piloter l’activité.

Le contexte marché est clair : la santé digitale pèse lourd. Entre la prise de rendez-vous portée par des plateformes comme Doctolib, KelDoc ou Maiia, la télémédecine opérée par Qare et Medadom, et l’essor des objets connectés type Withings, l’officine se retrouve au croisement du soin, de la data et du commerce.

Antoine Laurent, fondateur, porte une vision cash : automatiser l’approvisionnement pour redonner du temps au conseil et aux missions de santé (vaccins, TROD, entretiens pharmaceutiques). Traduction business : moins de friction logistique, plus de panier moyen, plus de récurrence.

Ce que ça change immédiatement pour une pharmacie

Le terrain prime. Claire, titulaire en périphérie d’Angers, jongle avec 1 600 références, trois grossistes, une équipe sous tension. En branchant une marketplace B2B, elle bascule ses commandes récurrentes en automatisé et négocie des volumes sans passer trois coups de fil. Résultat : 4 heures hebdo récupérées, réinvesties en entretiens d’accompagnement.

  • 🧠 Gain de temps : centralise tes achats et pose des règles (prix plafond, délais, substitutions).
  • 💸 Marge maîtrisée : compare en un clic, verrouille des prix, anticipe les ruptures.
  • 📊 Data utile : repère les rotations lentes, déstocke malin, renforce les leaders de catégorie.
  • 🤝 Accès direct industriels : offres ciblées, nouveautés, kits de mise en avant.

À l’échelle écosystème, le deal envoie un message : l’officine est un canal à part entière du numérique en santé. Même dynamique que l’hôpital côté interopérabilité, où des acteurs comme Lifen poussent l’échange fluide de documents et résultats. Le retail santé s’aligne : moins de papier, plus d’API, plus de pilotage.

Face à des agences digitales comme Itekpharma ou des pure players, la différence se jouera sur trois leviers : la profondeur de l’offre, la qualité des données et l’exécution commerciale sur le terrain. Pas de promesses floues : ce qui comptera, c’est le temps gagné en back-office et l’euro net par ligne de rayon.

  • 📌 KPI immédiats à suivre : taux d’automatisation des commandes, rotation stock, marge brute par famille.
  • 🧩 Compléments utiles : bornes de téléconsultation Medadom, agenda en ligne Doctolib, programmes prévention avec Withings.
  • 🛡️ Gouvernance data : vérifie RGPD + hébergement HDS quand il y a des données patients.

La ligne directrice est nette : cap sur la productivité et la valeur client, pas sur le gadget. C’est précisément ce que finance ce tour.

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Suite Pharmedigroup: Pharmedistore, Pharmedisound, Pharmed’Insight — synergies qui génèrent du revenu

La force de Pharmedigroup, c’est l’assemblage. Pharmedistore pour acheter mieux, Pharmedisound pour vendre plus en point de vente, Pharmed’Insight pour transformer l’expertise équipe en revenu data. Un trio cohérent, pensé pour la rentabilité d’une officine qui veut passer du « sous l’eau » au « sous contrôle ».

Pharmedistore revendique 4 500 pharmacies clientes. Le positionnement : premier réflexe d’approvisionnement en Europe, avec des industriels plus proches et des conditions transparentes. Le vrai gain : des règles automatiques d’achat, des promos contextualisées et une vision claire du stock sur 30, 60 et 90 jours.

Pharmedisound vise la conversion en boutique. Fini les playlists génériques. Place à des messages catégorisés : promotion dermo, nouveaux services, rappels saisonniers (pollen, grippe), conseils courts avec call-to-action en rayon. C’est du retail média audio orienté ventes additionnelles.

Pharmed’Insight propose aux équipes de répondre à des sondages rémunérés pour les laboratoires, assureurs ou agences. Deux gains immédiats : une source de revenus complémentaires et une voix de terrain qui pèse dans les décisions des industriels.

Comment aligner les trois briques sans friction

Le schéma recommandé est simple : on automatise l’approvisionnement, on stimule la vente sur place, on monétise la connaissance. Le tout relié par des tableaux de bord lisibles, des alertes actionnables et des KPI qui parlent au comptable.

  • 🛒 Appro : plans d’achats par saison, seuils de rupture, remplacements automatiques.
  • 🔊 Audio : messages 20-30s sur les catégories à écouler, timing lié aux heures d’affluence.
  • 🧪 Insights : 10 à 15 minutes par semaine par préparateur, thèmes ciblés, rémunération tracée.
  • 📈 Relevés : marge/rotation avant vs. après, corrélation entre audio et ventes, revenu sondages.

Comparativement, des plateformes patient comme Doctissimo nourrissent la demande d’information, pendant que des solutions d’agenda ou de télémédecine (Doctolib, KelDoc, Maiia, Qare) fluidifient l’accès au soin. L’officine, elle, doit capter la valeur transactionnelle et le conseil, sans perdre de temps sur la logistique.

🧩 Brique 🎯 Objectif 💥 Impact mesurable 🛠️ Astuce terrain
Pharmedistore Automatiser l’approvisionnement −20 à −35% de temps d’achat ⏱️, marge optimisée 💶 Règles d’achat par famille + alertes rupture
Pharmedisound Stimuler la conversion en officine +5 à +12% sur les catégories promues 📈 Messages 25s, CTA clair, rotation hebdo
Pharmed’Insight Monétiser l’expertise équipe Revenus sondages + motivation équipe 🎁 Temps dédié 15 min/sem., thème ciblé

Pour fiabiliser l’architecture, pense interopérabilité. Les hôpitaux avancent avec Lifen sur la circulation de documents. Côté officine, vise des flux propres : ventes, achats, stocks, campagnes audio, réponses à sondages. Moins de zones grises, plus de décisions rapides.

  • 🧱 Check technique : export CSV, API ouvertes, mapping familles de produits.
  • 🧾 Contrats industriels : conditions promo claires, capping, calendrier.
  • 👥 Conduite du changement : un référent process, micro-formations 30 min.

Conclusion opérationnelle de la section : aligne les trois briques sur un calendrier 90 jours et verrouille un rituel hebdo de pilotage. Le reste suivra.

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Expansion européenne et partenariats stratégiques: plan d’exécution 12 mois pour Pharmedigroup

L’ambition est explicite : devenir le canal d’approvisionnement #1 en Europe. L’équation : acquisition de pharmacies, onboarding d’industriels, accords logistiques et conformité locale. Rien d’ésotérique : du commercial, de la supply et de la data, exécutés au cordeau.

Le marché européen est fragmenté. L’opportunité : standardiser ce qui peut l’être (plateforme, promos, analytics) et localiser le reste (référentiels, réglementation, fiscalité). C’est exactement la même logique que chez les géants de la prise de RDV (Doctolib, KelDoc, Maiia) : tronc commun fort, branches locales robustes.

Traction commerciale: comment accélérer le recrutement de pharmacies

Trois canaux à prioriser : partenariats groupements, co-marketing industriels, et démonstrations chiffrées sur 30 jours. Les preuves par la donnée battent toujours les discours. Une étude de cas claire vaut dix webinaires.

  • 🤝 Groupements : packages négociés, KPI partagés, support premium.
  • 🏷️ Industriels : campagnes marketplace avec bundles exclusifs.
  • 🧪 Pilotes 30 jours : métriques avant/après, accord cadre si succès.
  • 📣 Références : témoignages vidéo, badges « appro certifié » en vitrine.

En parallèle, nouer des ponts avec des solutions complémentaires crédibles alimente la proposition de valeur. Exemple : bornes de téléconsultation Medadom, données bien-être via Withings, ou tri de l’information médicamenteuse avec Synapse Medicine. On évite de tout refaire soi-même, on orchestre des partenaires solides.

Autre axe d’amplification : contenus éducationnels pour les équipes officinales. Explique la logique d’automatisation, la lecture des marges, l’impact des campagnes audio. Le but n’est pas de « digitaliser » pour digitaliser, mais d’outiller pour gagner du temps et de l’argent sans sacrifier la qualité du conseil.

  • 🎯 Cible claire : 1 décideur, 1 référent, 1 calendrier. Pas de projet flou.
  • 📅 Rythme : sprints de 14 jours, bilan mensuel, arbitrages tranchés.
  • 🧮 KPI business : coût d’acquisition par pharmacie, LTV, churn.
  • 🌍 Localisation : langue, référentiels, fiscalité intracom, conformité pays.

Enfin, le maillage assurance et flux de tiers payant pèse dans l’équation globale. Comprendre les réseaux, leurs contraintes et leurs opportunités est un atout. Pour aller plus loin, un focus utile sur les mécaniques de réseau santé est disponible ici : réseau et coordination santé.

Clé de la section : un plan 12 mois sans ambiguïté, adossé à des partenaires complémentaires et une exécution rythmée. L’Europe récompense ceux qui livrent.

Data, conformité et nouveaux revenus: la pharmacie connectée pilotée par la preuve

Le cœur de la vision annoncée par Pharmedigroup tient en une phrase : libérer du temps de conseil en automatisant l’approvisionnement, et valoriser la donnée pour améliorer le système. Concrètement : des flux propres, des dashboards utiles et des règles de gouvernance strictes.

Sur le plan réglementaire, on ne joue pas. Données d’achats, performances de rayons : okay. Données patients : RGPD + hébergement HDS si nécessaire. Beaucoup d’enseignes confondent « analytics commerce » et « données de santé ». La frontière existe et doit être respectée.

Côté outils, l’écosystème évolue vite. L’hôpital pousse l’interopérabilité (voir l’analyse sur le numérique hospitalier), les startups comme Synapse Medicine fiabilisent l’information médicamenteuse, des objets type Withings structurent un suivi quotidien. L’officine devient le traducteur pragmatique entre ces briques et le quotidien des patients.

Monétiser la donnée sans perdre la confiance

Pharmed’Insight ouvre une voie claire : transformer l’expertise de comptoir en études rémunérées pour laboratoires et prestataires. La ligne rouge : pas de données nominatives patients. Ce sont des insights de terrain, anonymisés et agrégés, qui intéressent le marché.

  • 🔐 Gouvernance : registre de traitement, DPO point de contact, audits réguliers.
  • 🧭 Transparence : explique à l’équipe qui collecte quoi, pourquoi, et comment c’est sécurisé.
  • 💶 Rémunération : traçabilité, reversements programmés, part équitable équipe/officine.
  • 🧱 Limites : pas de données sensibles patients hors cadre légal, jamais.

La valeur vient ensuite de l’activation. Les tableaux de bord doivent raconter une histoire : catégories qui tirent la marge, stocks dormants, saisonnalités, corrélation entre messages audio et ventes. L’objectif est de décider mieux, plus vite, sans débat stérile.

Relie aussi la donnée à l’offre de services. Les plateformes de rendez-vous (Doctolib, KelDoc, Maiia) donnent un rythme au service. Les kiosques de télémédecine Medadom élargissent le champ clinique. Des partenaires comme Dreem ou Withings permettent de monter des parcours sommeil, tension, nutrition. L’officine orchestre, mesure, ajuste.

Ne néglige pas l’angle assurance et réseaux : une stratégie claire autour des flux de tiers payant et des offres complémentaires peut amplifier la proposition de valeur. Pour comprendre la mécanique côté payeurs et coordination, ce décryptage est utile : le rôle des réseaux santé.

  • 🧮 Indicateurs à instituer : GMROI (marge brute sur stock), OTIF (livraison à l’heure), NPS clients.
  • 🧪 Expérimentations : A/B test messages audio, bundles saisonniers, promos ciblées.
  • 📚 Formation continue : 30 min hebdo, une métrique, une action, un résultat.

Takeaway : la donnée n’a de valeur que si elle drive une action rentable et mesurable. Le reste, c’est du bruit.

Playbook opérationnel pour les officines: passer à l’action en 30, 60 et 90 jours

Le but n’est pas de collectionner les outils. Le but est d’orchestrer un plan simple, actionnable et mesurable. Voici une feuille de route prête à l’emploi, testée sur le terrain.

Semaine 0-4: mise en place et quick wins

Objectif : récupérer du temps de cerveau et sécuriser la marge. On commence par l’approvisionnement, car c’est là que se cache la plus grande friction invisible.

  • ⚙️ Pharmedistore : règles d’achat, seuils de sécurité, substitutions automatiques.
  • 📊 Dashboard : top 20 références par marge/rotation, plan d’assortiment.
  • 🔊 Pharmedisound : 4 messages (dermo, saison, services, panier moyen).
  • 🧪 Pilote Insight : 1 sondage court par semaine, rémunération tracée.

Connecte ce socle à des briques patient si pertinent : agenda Doctolib, Maiia ou KelDoc selon ton contexte. En parallèle, une page d’info patients renvoyant vers Doctissimo pour les bases (fiable, grand public) peut décharger le comptoir des questions récurrentes.

Semaine 5-8: industrialisation et marketing local

Maintenant que l’achat tourne, on pousse la machine commerciale. L’audio in-store devient le métronome des mises en avant. On suit, on ajuste, on double sur ce qui fonctionne.

  • 📈 Campagnes audio : 2 thèmes par semaine, A/B test CTA.
  • 🛍️ Bundles : offres duo/trio saisonnières, affichage clair au comptoir.
  • 🌐 Visibilité : horaires élargis et services mis à jour sur Doctolib/KelDoc/Maiia.
  • 🤝 Partenariats : kiosque Medadom si contexte rural, ateliers sommeil avec Dreem et suivi TA via Withings.

Mesure les effets : panier moyen, ventes des catégories promues, NPS clients. Coupe ce qui ne bouge pas l’aiguille, renforce le reste. Tu cherches le ROAS de tes efforts, pas la décoration sonore.

Semaine 9-12: scalabilité, data et leadership local

Le dernier palier, c’est la stabilité. Tes process tournent, tu peux ajouter de la complexité maîtrisée : plus d’industriels, plus de catégories, plus de data.

  • 📦 Catalogue : onboarding de nouvelles marques, négos volume.
  • 🧠 Parcours santé : sommeil/dermo/cardio avec mesure avant/après.
  • 🧮 Data : GMROI par catégorie, détection des dormants, calendrier d’écoulement.
  • 🏅 Leadership : témoignage vidéo, cas client, partage bonnes pratiques.

Exemple concret : Nadia, titulaire urbaine, a injecté 30 minutes hebdo pour lire ses dashboards et décider de trois actions simples (changer un fournisseur, programmer une promo audio, répondre à un sondage Insight). Au bout de 90 jours : +8% de marge sur trois familles et 2 h gagnées/semaine. Pas de magie, juste de la discipline.

Tu sais ce qu’il reste à faire : verrouille ton plan 90 jours, cale un rituel hebdomadaire de 30 minutes, et exécute sans te raconter d’histoires. Voilà. Tu sais quoi faire. Le reste, c’est toi contre ton inaction.

Questions fréquentes

Comment Pharmedistore se différencie-t-il des grossistes classiques ?
Par l’automatisation des achats, la comparaison instantanée des offres et l’accès direct aux industriels. Tu définis des règles (prix plafond, délais, substitutions) et tu réduis le temps passé à commander, sans renoncer à la marge.

Pharmedisound n’est-il pas intrusif pour les clients ?
Non, si c’est court, contextuel et utile. Des messages de 20-30 secondes, ciblés par catégorie et par créneau d’affluence, renforcent l’information client et améliorent la conversion sans gêner l’expérience.

Quels risques data avec Pharmed’Insight ?
Les insights sont anonymisés et ne contiennent pas de données nominatives patient. Mets en place un registre RGPD, un DPO de contact, et contrôle que les flux restent sur le périmètre commerce/études, pas clinique.

Quels outils complémentaires recommandes-tu ?
Agenda et visibilité via Doctolib, KelDoc, Maiia ; télémédecine en officine avec Medadom ; parcours santé connectés via Withings et sécurisation médicamenteuse avec Synapse Medicine.

Où trouver des repères sur l’interopérabilité et les réseaux santé ?
Deux lectures utiles : l’état du numérique hospitalier avec Lifen et un décryptage des réseaux et tiers payant ici : fonctionnement des réseaux santé.

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